•  L'esprit est un feu dont la pensée est la flamme. 
    Citation de Joseph Jaubert, Les carnets et textes recueillis (1938 ) 

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    Je me sens bien, en sécurité malgré que je sois dans une pièce complètement noire.

    Le mystérieux : Il connaît se mot ? Non, mais je rêve ou il s'exprime bien. En plus, il pense être vraiment en sécurité comme s'il n'était plus atteignable, on est mal partit. L'apocalypse est pour bientôt. 

    L'administration : * Le son d'un "r" roulé sort du fond de la gorge avec exaspération * Il faut vraiment que j'explique ou tu es vraiment un idiot doublé d'un incapable. Il a été intégralement rebouter donc sa façon particulière de parler aussi ou sinon tu ne lui as pas laissé le temps de s'exprimé, peut-être non ?! * Il est en colère, vraiment en colère*

    Le mystérieux  : * Déglutis face à la constatation que sa mort se rapproche dangereusement de lui et qu'il va dans peu de temps dire adieu à sa vie * C'-c'est p-pas vr-vrai d'abord ! Je-je n'ai pas peur d-de lui ! * Qu'il essaye de se convaincre mais tout l'équipe ici présente peut contester à l'aide de cette forme d'inconscience ou de débilité très développé chez cet individu *

    L'administration : Bon revenons à l'Histoire principale si vous nous le permettez car y en a qui aimerait poursuivre l'intrigue comme c'est prévu. * Nous sommes d'accord avec lui et le mystérieux à été mis en mode off au plus grand plaisir de certains * Enfin une bonne chose de faite ! Merci à vous pour cette action. * Nous faisons que notre devoir Monsieur L'administrateur. *

    Bizarre, j'ai l'impression de manquer quelque chose en moi comme si je viens de me séparer en deux. Pourtant, j'ai beau essayer de ressentir si mon corps a une quelconque blessure physique mais rien, mon corps n'a pas de blessure. Oh une flamme est apparu ! Ce qui veut dire que quelqu'un d'autre habite en moi.

    "Effectivement, je vis en toi, petit... Et pour l'éternité. Tu vas devoir me supporter pendant toute ta vie. Je te conseillerai dans tes choix donc essayons de pas trop se mettre des barres dans les roues pour commencer. " Annonce ce petit feu d'une voix rocailleuse. 

    D'accord, je peux t'appeler Hearthy ? Quoique Kurt te conviendrait mieux non ?

    "Dans un temps lointain, on m'appelait Kurt le Noir mais je peux concéder au fait que tu me nommera Hearthy car j'ai élu domicile dans ton appareil psychique, mon petit. Il serait temps, tu ne pense pas que tu remontes à la surface petit ? Moi, je trouves que nous l'avons assez fait attendre. Et j'imagines que tu ne sais pas encore comment revenir à toi, je veux bien t'aider mais ce sera la dernière fois. Mais ne t'inquiète pas je t'apprendrai à la faire sans aide extérieure et dans n'importe quel situation... C'est la moindre des choses que je dois faire si je veux..." Me raconte-t-il avec une voix profondément rauque.

    Après ce qui semble être la fin de son discours, il s'approcha de moi. On pourrait se dire que j'allais prendre feu si cette source de chaleur me frôlait de peu. Malgré cette hypothèse, je sais au fond de moi que je n'avais pas avoir peur. Je le sais. Après cette observation forte intrigante, la boule de feu n'est plus qu'à quelques centimètres de moi. Maintenant, elle me léchait la peau. Normalement le feu dont est composé entièrement cet esprit devrait me brûler et pourtant je ne ressentais que du réconfort dans mon cœur.

    "Cette proximité entre nous est vraiment nécessaire Hearthy pour faire une démonstration de ta soi-disant capacité à se déplacer. Capacité qui permetterai selon tes dires de rejoindre le "vrai" monde. D'ailleurs, où sommes-nous du coup si nous ne sommes pas au bon endroit ? Et pourquoi je porte une longue blanche avec une capuche ? Je sais que je ne porterais jamais ça. A part si tu m'a ensorcelé mais ça voudrait comme même dire que je n'étais pas en accord avec cette décision. Ou sinon c'est une personne extérieur à tous ce charabia. Je peux donc affirmer que ça ne peut être une prise d'otage... Voilà ! " Dis-je à l'étrange inconnu.

    Contre toutes attentes, il rigole. Oui comme ça sans aucune raison, il est trop bizarre dis-donc. Pendant qu'il est en train de se moquer, sa présence prend de plus en plus de place dans cette espace noir qui me paraît à cet instant extrêmement immense. Je pense vraiment qu'il ne s'arrêtera jamais. Est-ce qu'il faut que j'intervienne ? Et puis, si c'est le cas, comment je dois agir afin de limiter la casse ? Est-ce qu'il existe un SPQ soit service pendant kidnapping ? Je suis sidérée plus le temps passe plus le noir s'efface pour laisser à un feu... Non, à un incendie grandissime évoluant dans un monde obscur infinie. Ce grossissement est sûrement dû à un gavage évident de raclette à base de combustible. Perturbant. En plus de ce phénomène, peut-on m'expliquer le fait que même s'il y a une source de chaleur, de lumière et que la pièce ou ce qui en ressemble puisse rester dans le noir ? Je ne vois pas au-delà de ma désastreuse robe, est-ce anormale ? Je pense un peu...

    "Bon, c'est pas le tout. J'imagine que tu as besoin d'explication avant que je t'emmène autre part. Est-tu prêt ? " Me questionne-t-il alors qu'il avait rétrécie pendant que j'étais plongé dans mes réflexions.

    Comment il fait pour atteindre une si grande taille et régresser à cette taille comme si tout allait bien ? 

    "Peut-être..." Lui rétorqué-je mais suis-je vraiment sûre... On verra ce qu'il va m'annoncer.

    "Bien, on va dire que c'est une réponse positive. Commençons ! Cette pièce te représente, c'est-à-dire, ton humeur, ton passé, tes impressions, tes pensées etc. Elle est en toi. Je ne brûle personne à part les intrus qui oserait camper ce lieu que je protège. Tu as choisis toi-même ces habits et ne me regarde pas de cette façon, je t'assures que je n'y suis pour rien même si je l'avais voulu. Ça doit sûrement symboliser quelque chose pour toi dont tu n'a pas encore accès, tu verra bien plus tard ce que cette tunique voulait dire pour toi. Ensuite, je ne t'ai pas kidnappé ou qui que ce soit ne l'a fait voyons ! Tu es là de ton propre gré... Enfin ton corps t'a envoyé ici pour qu'il puisse faire son travail oit guérir ou se reposer sans trop dépenser d'efforts. Est-ce que j'ai bien répondu à toutes tes questions ? J'imagine que tu ne t'attendais pas à ce genre de réponse et pourtant, tu devras faire avec pour l'instant. Si tu en as d'autres poses les-moi maintenant ou... Oh, il est l'heure. Tant pis, allons-y. Ils nous attendent mon petit" 

    Ce ne sont que des explications vides de sens pour moi enfin la plupart de celles-ci. Je ne comprends toujours pas le sens de sa phrase sur la pièce et ceux qui nous attendent ? Où est-ce que je me suis encore fourré ? 

    "Je te préviens le voyage risque de légèrement picoter, tu t'y fera à la longue. Je ne sais pas si on va pouvoir se parler donc je te dis bonne chance pour la suite. Au revoir mon petit agneau." M'informe-t-il d'une basse voix 

    Quand il a dit picoter , il se fichait vraiment de moi. J'ai affreusement mal à la tête, comme si ma tête tournoyait sans s'arrêter. Je ne vois plus rien, je ne ressens plus rien comme si j'étais coupé du monde. Je n'en pouvais plus, suis-je sur le point de mourir ? Est-ce que faire confiance à Hearthy ou Kurt était une bonne décision ? De tout façon, je n'avais pas eu mon mot à dire. En effet, j'étais dans un endroit dont je ne connaissais rien. Et je ne pouvais pas m'enfuir alors qu'en face de moi j'avais une boule géante de feu.
    J'ai l'impression que cela dure depuis plus d'un jour, cette douleur n'est pas décidée à me quitter. Tel un ras-de-marré, je peux enfin être un minimum apaiser. Essayons d'ouvrir les yeux pour analyser la gravité de la situation. Un... Deux...Trois... Il s'ouvrent !

    Une étrange femme est au-dessus de moi et ouvre sa bouche pour me dire :

      "Je vais t'expliquer comment et pourquoi nous en sommes arriver à cette situation. Tout à commencer par cette annonce du quartier général."  

     


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