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Chapitre 6:
"Tu te rappel quand il nous a dit : "J-je te suit maman. Je te suivrai où que tu ailles." C'était tellement beau, n'est-ce pas lieutenant ? " M'informe mon premier véritable grand ami tout ému, vibrant de plaisir profond. Il est enfin heureuse
Oh ce moment, oui il fut l'un de mes plus beaux moments de ma vie. Mais s'il-te-plaît Capitaine ne me lance dans ce sujet, je te rappelles qu'on est censé écouter ce qu'ils essayent de nous faire passer comme message implicitement. Et si on n'a le malheur de louper ne serait-ce qu'une phrase de leurs paroles, on pourrai perdre notre nouvel ami.
"Ok, message reçu cinq sur cinq. Je me tais, pour l'instant, je te laisse les commandes. Mais je te promet pas d'être un peu intrusive par moment pour bien montrer ma façon de voir les choses surtout si ça concerne notre petit protégé !" Rétorque-t-il vrombissant dans mon esprit, tel que ça me sonna quelques secondes.
J'ai compris mon ami pas besoin de crier dans ma tête, j'avais prévu que tu me dise ça. Et je ne comptais pas t'en empêcher de toute façon. Bon, retournons à la réalité veut-tu ? Alors, il nous demandais de prendre un siège en osant placer une menace sur notre propriété ! Je ne l'aime pas et je ne l'aimerai jamais pour la vision qu'il m'a implanter dans l'esprit : ma vie sans notre petit. Lui et sa femme peuvent se carrer leurs explications où je pense s'ils continuent sur cette voie, c'est contre-productif ! En plus, notre petit doit être perdu devant tous ces gens mal-léchés qui ne prennent pas des gants pour avoir ce qu'ils attendent ! Je crois que la femme a compris ce que je pensais d'eux puisqu'elle regarde d'un œil mitigé son partenaire de vie, "Unendliche Liebe".
J'ai vu leurs regard entre eux."Une chaise sera amplement suffisante, monsieur. Et assis-toi, si tu le veux, mon petit garçon." Avancé-je tout à fait sereinement alors je bouillais intérieurement.
Notre petit bonhomme aussi haut que trois pommes, est allé chercher une chaise puis il l'a positionna à ma gauche. Il grimpe sur celle-ci ensuite il se mit à balancer ses pieds comme une horloge avec deux pendules. Cependant, il me surprit quand il agrippa ma robe de sa petite main que je croquerai bien.
"Je suis d'accord avec toi. Il est à croqué ce jeune homme. Je m'en lèche les babines d'avance." Approuve mon acolyte pervers, décidément.
Hahaha tu ne changera jamais Cap'taine. Heureusement que j'arrives un minimum à me contenir et à garder un masque de contenance devant ses êtres vicieux.
"Nous remarquons ça, Läufer. " Susurre un jeune homme dans la masse de personne qui se scinda en deux, permettant de voir cette énergumène sortis de nul-part.
"Comment ose-t-il vociférer une telle atrocité devant nous mais surtout devant notre petit est trop innocent pour être plongé la tête la première dedans ?! Ne me demande surtout pas de me calmer ou de me détendre ! J'ai ce besoin au fond de moi de cracher tout ce que je pense sinon je risque de le prendre par la peau de derrière, de le traîner jusqu'à un coin d'eau pour plonger sa tête toutes les deux secondes dans l'eau. Puis lui brûler ses doigts un à un pour ensuite les découper petits bouts par petits bouts. Je les lui ferai bouffer puis je plongerai ses doigts de pieds dans un bac d'acide lentement, très lentement. Tu as l'image ? Puis je pendrai une masse pour le lui envoyer sur ses petits..." Invective sauvagement mon capitaine.
Oh putain.
On est pas dans la bouse de vache pas fraîche qui pue à mille kilomètre à la ronde. Note le sarcasme Cap'taine. Comment ils peuvent savoir ce genre de chose alors qu'il n'en avait pas connaissance ?
"Je ne sais pas, moi non plus. Si. Ça peut coïncider mais ce serait trop facile de jeter la pierre ainsi. Même si c'est tout son style de nous planter un gros coup de couteau dans le dos. Oui, il n'y a que lui pour oser ça. Je t'avais prévenu qu'il n'était pas net mais comme d'habitude tu n'écoutes jamais mes mise-en-gardes. " Râle-t-il en grognant.
Je ne crois que ce je vois, partenaire. Même si je crois en les... La main qui tenait ma robe me sortit de mes pensées. En effet, la petite fripouille à côté de moi serrait très fort ma robe et s'était rapproché de moi, peut-être à cause de ses légers frissons. Qu'est-ce qui s'est passé pour que mon petit bout de chou me regarde avec ces yeux cherchant désespérément mon regard et légèrement humides tout en tremblant de tout son corps ? Qui est la cause de ce mal, de cet affront envers ma personne ? On ne touche pas à...
" Ce qui nous appartient" Continue mon partenaire d'une voix d'autre-tombe.
Le pire dans cette histoire, c'est quand mon petit loup me sourit enfin tente de me sourire qui fana très vite.
"Qu'est-ce vous venez de dire ?" Grognais-je sans émotion apparent dans ma voix et en gardant mon regard vers ce petit garçon, je ne devais pas laisser mes émotions dépasser.
"Quoi sur le fait que tu étais une..." Fredonna le petit... énergumène de mes dieux avant d'être coupé par son chef suprême.
"Stop ! Arrête Locke ! Ce n'est pas une façon de parler à des invités ! " S'égosille la femme pleine de prestance au milieu de cette pièce vide d'âme personnel.
Un sourire carnassier franchit malgré moi mes lèvres en voyant ce petit péteux de conserve s'être fermé le clapé par ce qui devait représenter pour lui une déesse sur Terre. C'est un moment si jubilatoire de le voir se renfrogner d'un seul me fait remonter des serpents de sadisme en moi. Enlève ce sourire de ton visage, pense à autre chose.
"Bon, reprenons les bases. Tout le monde va prendre une place dans cette pièce qui se doit d'être rénovée. Et j'ai bien dit tout le monde, n'est-ce pas Lisabeth Hunt ?" Me dit-elle fort à priori comblé de joie de savoir mon identité pas si secret que nous le pensions.
C'était au tour de l'autre merdeux de se revêtir de ce sourire malfaisant se payant ainsi de mon actuelle situation. Je lui ferai bien ravaler son audace avec cette saloperie de sourire.
"Quand tu veux, très chère." M'encouragea mon amant de toujours tandis que les personnes les plus importantes s'asseyaient. Les autres partant pour je ne sais quel autre raison comme surveiller qu'il n'y ai pas de débordement et des fuites par la suite.
La femme me regarde avec insistance, son conjoint regarde sceptique mon bonhomme et les autres restent muets en observant la pièce ou un point imaginaire devant eux.
"Maman, vient assis-toi." Me souffle-t-il courageux face à ses grosses brutes, ses yeux se voulant rassurant et ce petit sourire innocent cachant sa dentition.
"On redeviendra dans un état de guimauve quand on sera à l'abri et dans notre territoire de préférence, ma belle." Intervient mon humble soldat.
Oui d'accord, je lui témoignerai toute ma sympathie quand on se sauve.
"Quelques petites explications s'impose, Lisabeth Hunt. Puis-je vous appeler Lily ? Donc, on nous avait signaler que ce territoire était laissé à l'abandon puis on vous trouve vers les bas fonds de celui-ci, sans aucun chef et avec un enfant en charge. Nous avons peut-être portés notre jugement un peu trop hâtivement à cause de votre... Comment dire ? Votre réputation ? Votre carrière ? " Avance le petit bout de femme en face de mon petit.
Elle remonte dans mon estime, elle n'a pas tout dit devant tous ce beau monde même si je pense qu'ils savent ce que j'ai fait dans le passé.
"Ne pense pas à ça ma douce. Ressaisie-toi, il a donné ta confiance alors ne la bafoue pas en te replongeant dans un passé révolue. " Frémit mon coéquipier.
Je détailla mon beau petit spécimen de mes yeux tout en réfléchissant comment je pouvais parler de ce que j'ai dû endurer sans qu'il ne prenne peur ou ne ressente de la pitié envers notre personne. Je pourrai lui dire de partir loin de cette mascarade et de revenir quand je lui enverrai un signal sonore ou quelque chose comme ça. Je pourrai tous les mettre en hors-ligne et kidnapper mon précieux petit. Mais ce n'est pas acceptable moralement parlant. Je lâcha un énième soupir avant que la femme reprenne la parole suite au grand blanc glaciale de cette pièce.
"Pouvez-nous dire la raison à tout ceci, je vous en pris ?" Murmure-t-elle avec cette douceur et allégresse qui n'avait pas lieu d'être d'après ce que je m'avançais à révéler.
"Vous allez nous laissez tranquille après ça ?" Rétorqué-je en connaissant la réponse mais en voulant se rassurer de l'issue de cette conversation.
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